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mardi 3 janvier 2012

IRAN OIL .... QUAND LONDRES FAIT SEMBLANT QUE SES PAYS-DOMINIONS ARABES SE DÉNATIONALISENT AFIN DE BERNER LES MÉDIAS


1951

9 janvier, Inauguration du Siège des Nations unies.... Début du sponsor américain à l 'Etat d'Israel pour des experiences d'irradiation sur des enfants immigrés.


La compagnie pétrolière anglo-perse (APOC) a été fondée en 1908 suite à la découverte d'un grand champ de pétrole de Masjed Soleiman , en Iran . Elle a été la première entreprise d'extraire du pétrole à partir du Moyen-Orient . En 1935, l'APOC a été rebaptisée Compagnie pétrolière anglo-iranienne (AIOC) et en 1954 elle est devenue la compagnie British Petroleum (BP), l'un des précurseurs de la modernité BP plc.

Elle fut mensongèrement nationalisée qu'à 25% du total des actions de l'APOC.

En 1931, Teymourtash qui voyageait en Europe pour inscrire le prince héritier Mohammed Reza Pahlavi dans un pensionnat suisse, a décidé d'utiliser l'occasion pour tenter de conclure les négociations. Selon Cadman, Teymourtash travaillé fébrilement et avec diligence pour résoudre toutes les questions en suspens, et a réussi à obtenir un accord de principe:

Il vint à Londres, il dînait et il a passé la journée et la nuit dans la négociation. De nombreuses interviews ont eu lieu. Il a épousé sa fille, il a mis son fils à l'école [Harrow], il a rencontré le secrétaire d'Etat aux Affaires étrangères, un changement a eu lieu dans notre gouvernement, et au milieu de tous ce dédale d'activités nous avons atteint un accord provisoire sur le principes qui doivent être inclus dans le nouveau document, laissant certains chiffres et le montant forfaitaire à être réglé à une date ultérieure.

La compagnie pétrolière anglo-perse poursuivi ses grandes opérations Persique même si elle a changé son nom à l'AIOC en 1935. En 1950, Abadan était devenu la plus grande raffinerie du monde.
PSEUDO-NATIONALISATION DU PÉTROLE EN IRAN
En mai 1949, la Grande-Bretagne avait offert un «accord d'huile supplémentaires", qui garantissait les paiements de redevances.... «L'accord , cependant, a fait que l'Iran ne voyait plus l'importante de gérer ;'entreprise" ni le droit de vérifier les livres de la société. Lorsque le ministre iranien du Premier essayé de discuter avec AIOC tête de Sir William Fraser , Fraser "congédié" et volait vers le Royaume-Uni.







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